Pourquoi on paye des impôts? est une BD pédagogique distribuée aux jeunes lecteurs d' Okapi, Géo Ado et Phosphore. Pourquoi on paye des impôts ? | Pearltrees. Eric Woerth semblait tout fier de présenter cette semaine à la presse cette coproduction de son ministère (Budget) et du groupe Bayard Presse. Dommage qu'il réserve cette lecture aux seuls contribuables en herbe, lui qui vient d'une famille politique adepte des cadeaux fiscaux et peu porté sur le service public, finalité de l'impôt. Pourquoi pas une distribution générale sur les bancs de l'UMP?
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Les entreprises et les salariés à revenus élevés se sont opposés à la taxation progressive parce qu'elle décourage l'investissement et l'initiative. Les impôts fédéraux sont perçus par l'Agence du revenu du Canada (ARC), le ministère connu anciennement sous le nom de Revenu Canada, le ministère du revenu national et Douanes et Accise. Pourquoi payons-nous des impôts? | l'Encyclopédie Canadienne. Le gouvernement utilise nos impôts pour financer ses services. Au cours du dernier trimestre de 2001, les dépenses du PIB faites par le gouvernement pour des biens et services s'élèvent à 203 milliards de dollars. Une autre fonction des revenus fiscaux est la péréquation du niveau de vie des Canadiens; elle consiste à redistribuer le revenu, il s'agit en fait de la conscription de la richesse. Les paiements de transferts font en sorte que les provinces les moins prospères puissent offrir des services publics comparables sans avoir d'impôts considérablement plus élevés que ceux des provinces plus fortunées. Les provinces admissibles sont le Québec (5, 4 milliards de dollars en 2000-2001), la Nouvelle-Écosse (1, 3 milliard de dollars), le Manitoba (1, 2 milliard de dollars), le Nouveau-Brunswick (1, 2 milliard de dollars), Terre-Neuve (1, 1 milliard de dollars), l'Île-du-Prince-Édouard (2, 4 millions de dollars) et la Saskatchewan (2, 3 millions de dollars).
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La Loi constitutionnelle de 1867 (anciennement l'Acte de l'Amérique du Nord britannique) donne au Parlement des pouvoirs d'imposition illimités, mais limite les pouvoirs des provinces sur l'imposition directe. Depuis ce temps, nous nous plaignons des impôts! Pourquoi on paye des impôts okapi region. La guerre vient de nouveau modifier notre structure fiscale pendant la Deuxième Guerre mondiale. Le besoin du gouvernement de répartir les coûts de la guerre, de réunir des fonds et de minimiser les incidences de l'inflation fait en sorte que les sources principales d'impôts passent sous l'autorité fédérale. Les provinces renoncent au recouvrement des impôts des particuliers et des sociétés au profit du gouvernement fédéral pour la durée de la guerre plus une année. Après la guerre, l'autorité fédérale est élargie et le public demande l'augmentation de la participation gouvernementale à de nombreux secteurs. L'imposition directe devient donc un aspect permanent des finances fédérales, bien que les provinces aient un droit constitutionnel sur ces impôts.
Il est indispensable d'ex pli quer, renchérit Éric Woerth. « L'impôt est un des socles de la démocratie, c'est le prix du service public, martèle-t-il. Aux États-Unis, les citoyens en paient moins, mais l'hospitalisation ou l'éducation n'y sont pas gratuites. » L'accumulation de nouvelles taxes rend-elle le système opaque? « Si on leur laisse le temps de s'adapter, les Français sont prêts à comprendre, assure-t-il. Ainsi, la taxe carbone vise à modifier les comportements. Pourquoi on paye des impôts okapi actualite. On introduit la pollution dans le système fiscal mais, en échange, on élimine d'autres prélèvements. » Selon Georges Sanerot, président du directoire de Bayard, « l'impôt fait partie des thèmes importants pour nous, car il permet à nos lecteurs de s'approprier un peu plus le monde dans lequel ils vivent. » Directeur de Bayard Jeunesse, Pascal Ruffenach voit dans ce livret « une mission de service public, qui correspond au travail de notre maison dans ses publications ». Le « grand oral » du ministre se termine. Rémi Jeannin, professeur d'économie, salue cette brochure pédagogique.