Stockholm, la capitale de la Suède suivie de Copenhague, la capitale du Danemark représentent les points d'embarquement les plus prisés de tous. A priori, aller vers Stockholm vous offre la possibilité de faire des découvertes. Par contre, si vous jetez votre dévolu sur Copenhague, vous dénicherez de succulentes spécialités culinaires. Sans plus vous attarder, organisez votre prochain voyage dans l'une de ces destinations:
Helsinki en Finlande et son front de mer très mouvementé;
Tallin situé au bord de la Mer Baltique et en Estonie;
Warnemünde en Allemagne qui vous invite à une escapade. 3. Les îles ioniennes, les meilleures destinations en Grèce
Pourquoi envisagerez-vous de partir en juillet? Primo, vous aimez aller à la plage et secundo, vous êtes en quête d'une escapade ensoleillée. À la différence de l'hiver, l'été est la période parfaite pour voyager dans les îles ioniennes. Besoin d'admirer les plus belles plages du pays? Cap à l'ouest de la Grèce. Afin de s'éloigner de la foule, la plupart des touristes préfèrent partir au mois de juillet.
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L'instabilité devrait en revanche être notable, à la faveur de gouttes froides, entre le Golfe de Gascogne et les Balkans, générant un temps orageux du nord de l'Espagne aux 3/4 sud-est de la France jusqu'en Italie et à la mer Noire. Des conditions perturbées sont attendues essentiellement de l'Islande à la Norvège avec des pluies fréquentes et abondantes. Au niveau des températures, un temps encore chaud devrait s'imposer sur la majeure partie du vieux continent tandis qu'elle seront dans les normales du Portugal au nord de la France jusqu'en Pologne et au sud de la Scandinavie, sur le Royaume-Uni et en Islande. Octobre 2022: des conditions anticycloniques devraient apporter un temps anormalement sec et ensoleillé tout autour de la Méditerranée avec des températures plutôt de saison, un peu au-dessus sur le sud de l'Espagne, le nord de l'Italie, la Suisse ou encore l'extrême sud-est de la France, un peu en-dessous vers la Turquie. Le flux dépressionnaire concernerait les pays du nord du continent depuis l'Irlande et l'Ecosse vers la mer Baltique avec des pluies fréquentes et abondantes, accompagnées d'une certaine fraîcheur sur le nord-ouest des îles Britanniques.
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Ailleurs, les conditions météorologiques devraient être dans les normales sans excès. Juin 2022: les hautes pressions risquent d'être en retrait, protégeant principalement la péninsule Ibérique ou encore les îles Britanniques où les conditions météo s'annoncent plutôt sèches, de saison voire fraîches côté Britannique notamment en Ecosse, assez chaudes côté Espagnol et Portugais. Un temps doux à chaud devrait par ailleurs concerner les pays méditerranéens, mais aussi ceux bordant la Mer Baltique. On notera des précipitations le plus souvent de saison, mais sans doute excédentaires entre la Suisse et la Pologne. Juillet 2022: les hautes pressions vont se retirer de l'Europe de l'ouest laissant la dépression d'Islande descendre vers les îles Britanniques. Les conditions s'annoncent fraîches et humides sur le Royaume-Uni, la moitié nord de la France, le Benelux, le Danemark ou encore la Norvège avec des pluies fréquentes, abondantes et assez peu de soleil. Soleil et chaleur en revanche de l'Algérie à l'est du vieux continent.
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Mais il ne faut pas s'y tromper. "En règle générale, toutes les saisons se sont considérablement réchauffées en Europe au cours des dernières décennies. En 2020, nous avons eu un printemps très chaud et un été chaud, mais l'automne et l'hiver ont été les plus chauds jamais enregistrés, tandis qu'en 2021, le printemps a été plus froid que la moyenne et l'été le plus chaud jamais enregistré", nuance Copernicus, contacté par France 24. En outre, les températures moyennes pendant au printemps 2021 étaient plus élevées qu'avant 1980. Or c'est autour des années 1970-1980 que le réchauffement climatique a commencé à fortement s'accélérer. Les mers européennes n'ont pas non plus été épargnées, en particulier la Baltique, où les scientifiques ont relevé, en juin et juillet, dans certaines parties, "plus de 5 °C de plus que la moyenne". Sur l'année entière, les résultats sont également historiques. "Les températures […] dans de vastes zones de la mer Baltique et de la Méditerranée orientale n'avaient pas été aussi élevées depuis au moins 1993", notent les scientifiques de Copernicus.
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Parmi les balises récupérées, l'une d'elles l'a été d'une façon originale: un ornithologue l'a trouvé dans une pelote de réjection dans une colonie de Grands Cormorans ( Phalacrocorax carbo). La balise était encore en bon état et a récolté 90 jours de données. D'après les informations enregistrées, on a appris que la capture de la morue par le cormoran avait eu lieu le matin du 15 mai 2018, alors qu'elle nageait à 1, 5 m de profondeur. La digestion, qui s'est déroulée à une température comprise entre 39, 3 et 41, 2°C, a duré 31 heures. L'analyse des données rassemblées durant 90 jours a permis de découvrir que la morue était restée la plupart du temps à moins de 40 m de profondeur, qu'elle a effectué des déplacements quotidiens vers les côtes et vers le large, dans des eaux plus ou moins froides. Réagir à notre article Réagissez à cet article en publiant un commentaire Compléments Sources Stefanie Haase, Karin Hüsy, Michele Casini, Krzysztof Radtke et Uwe Krumme (2021). Eaten by a cormorant: Unexpected return of a tagged Baltic cod.
A cet exercice a pris part le missile Qadr, engin à tête manœuvrable ( MaRV), soit à la trajectoire imprécise et in détectable pour les systèmes de DCA qui du coup s'en trouverait complètement doublé. Dans la foulée de l'exercice, l'Iran a dévoilé son missile "Kheybar Shekan" ou " Briseur de Kheybar". Il s'agit d'un missile stratégique à longue portée que le CGRI qualifie comme étant un missile de troisième génération: il utilise du combustible solide certes mais dans la phase d'atterrissage, son ogive manœuvrable, trahit le bouclier antimissile par sa trajectoire non balistique. Puis sa conception optimale a permis de réduire son poids d'un tiers par rapport à des échantillons similaires (Sejjil, Ghadr-F) et de réduire d'un sixième son temps de préparation et de tir. Quant à sa vitesse il dépasse Mach4 à l'impact. Photo: les missiles à ogive manœuvrable du missile Ghadr, deuxième photo à droite. ©Tasnim
C'est en référence à ce nouveau missile tactique que le général Hajizadeh, commandant de la Force aérospatiale du CGRI a parlé d'un engin tactique nouveau et surtout du fait que l'Iran n'a promis à personne de confiner la portée de ses missiles balistiques à 2000 km, un clin d'œil aux projets des transcontinentaux iraniens. "