Bien que ce couvre-chef soit particulièrement associé aux Britanniques et aux Français, toutes les puissances coloniales européennes utilisent différentes versions du salacot de la fin du XIX e siècle et début du XX e siècle. Le casque tropical français est utilisé pour la première fois par les troupes coloniales en 1878. Les Néerlandais le portent durant toute la guerre d'Aceh (1873-1904). En Amérique, l' armée américaine l'adopte dans les années 1880 pour ses soldats servant sous le soleil du sud-ouest des États-Unis. La Police montée du Nord-Ouest l'utilise également au Canada durant la Rébellion du Nord-Ouest, avant qu'il soit remplacé par le Stetson. Casque colonial britannique | lot 23 | Le Conflit Indochinois 1946-1954 : Souvenirs Historiques chez Cornette de Saint Cyr Paris | Auction.fr. XX e siècle [ modifier | modifier le code]
Le casque colonial en liège fut largement utilisé par les civils en particulier dans le Midi de la France, jardiniers, marins de plaisance, et par les colons. Il fit partie également de l'uniforme de la police municipale de plusieurs villes du Midi, notamment de Marseille, Nice, Toulon, etc. Officiers coloniaux britanniques en 1907, à Nairobi.
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Ces imperfections n'entache en rien sa qualité et n'affecter que son apparence. A propos du chapeau Coloniale: Composition: fabriqué d'écorce d'arbres du Vietnam 100% Moelle, recouvert de tissu en coton Hauteur de la calotte: environ 21, 5cm Largeur du bord: environ 9cm à l'avant et à l'arrière, 6cm sur les côtés Jugulaire en cuir Bandeau intérieur ajustable en coton. Casque colonial britannique st. Informations sur les Tailles du casque colonial: Taille ajustable via un bandeau en faisant le tour de tête avec aux extrémités un velcro. Convient confortablement de 55 à 59 cm.
Ces représentations stéréotypées empêchent de lire les itinéraires individuels dans toute leur complexité. Certains portent le casque parce que tous les Européens le portent, tout en protestant contre les aspects violents de la politique coloniale. Quant à ceux qui contestent son port, ils peuvent le faire pour des raisons variées. Il y a ceux qui le font pour être plus proches des « indigènes » – qui n'en portent pas. Il y a ceux qui partent loin pour vivre des aventures extraordinaires impossibles à vivre en Europe et qui se retrouvent à porter le même casque que tout le monde, ce qui les renvoie précisément à ce qu'ils veulent fuir. Casque colonial Britannique 1879. Eux ne protestent pas forcément au nom de nobles idéaux, mais au nom de leur individualité. Henry de Monfreid, par exemple, publie, dans les années 1930, une série de récits sur ses aventures en mer Rouge. Contrebandier de haschisch – entre autres produits – et en marge de la loi, il s'oppose, à ce titre, à l'administration coloniale de Djibouti. Pour manifester son opposition aux colons – qui portent le casque – et au gouverneur – qui porte un casque –, il porte un turban.