Alors, aujourd'hui, que l'on soit branché new wave ou non, curiosité et nostalgie ont tout de même attiré 850spectateurs à la Carène, mercredi soir. Histoire de voir ce que peut encore faire l'un des piliers d'une musique à la fois rugueuse et glaciale, progressive et mélodique. Etpourquoi pas revivre les années sombres d'une jeunesse damnée ayant perdu «la sensation»? Curtis à travers l'histoire «Unknown pleasures» (1979), disque phare de Factory records et premier album de Joy Division, est le seul que Curtis connaîtra de son vivant. D'oùl'intérêt de rendre hommage àla première étincelle d'un mouvement qui s'épanouira par la suite avec New Order. Ainsi, Peter Hook, secondé par ses trois musiciens, se plaît-il àoffir un hommage chronologique à Joy Division: de l'élan de «Warsaw» et «Novelty» auprofond malaise généré par des morceaux comme «Disorder», «Candidate» ou encore «New dawn fades». Jusqu'au sublime «Love will tear us apart», suivi d'un symbolique «Cemerony» en guise de clôture.
- Peter hook nouvelle vague free
- Peter hook nouvelle vague
Peter Hook Nouvelle Vague Free
Vers la lumière À travers la belle prestation sonore de The Light, on déplorera tout de même le choix décevant de Peter Hook: délaisser son instrument de prédilection pour aller faire rugir au micro un organe tristement inapte àreproduire l'énergie du désespoir insufflée corps et âme par son défunt chanteur. Ce désespoir sans issue qui entraînera une fin dramatique. Puis une renaissance éternelle.
Peter Hook Nouvelle Vague
Plus éclectique que son prédécesseur, Bande à Part puise aussi bien ses références dans le pré-electro (Bauhaus et son fameux « Bela Lugosi's Dead », New Order), le post-punk (Buzzcocks) ou la pop « eighties » (Billy Idol). Moins orienté new wave, l'album n'en rend pas moins hommage à toute une lignée de précurseurs qui, du rock à l'electro furent en leur temps des pionniers. Cependant, de l'avis critique, le résultat est un peu décevant par rapport à la créativité de Nouvelle Vague. Ici, Libaux et Collin noient les créations d'origine dans un son afro caribéen qui uniformise les morceaux, pourtant parfois à des années lumières esthétiques les uns des autres. Première au Grand Rex
Le premier live du groupe, reprenant un medley des titres contenus dans les deux albums est enregistré en 2007, au Grand Rex (un cinéma à l'origine), mixé et pressé le soir même, ce qui constitue une performance en soi. Quelques titres originaux sont bien entendus joués ce soir-là (« Grey Day », de Madness, « Israel » de Siouxsie and the Banshees... ) pour le plus grand bonheur d'un public branché venu applaudir le happening dans l'un des endroits les plus hype de la capitale.
Le duo maîtrise les codes de l'humour et du stand up à...
SALLE MAC ORLAN - Brest 29200
NUIT D'IVRESSE
NUIT D'IVRESSE
Avec Jean-Luc Reichmann, Thierry Lopez, Stéphane Boucher. Nouvelle adaptation par: Josiane... Le Liberté - Rennes 35000
SORTIR A RENNES
Recherche autour de
Rennes