| alpha: M | artiste: Michel Sardou | titre: Le temps des colonies | Moi monsieur j'ai fait la colo, Dakar, Conakry, Bamako. Moi monsieur, j'ai eu la belle vie, Au temps béni des colonies. Les guerriers m'appelaient Grand Chef Au temps glorieux de l'A. O. F. J'avais des ficelles au képi, Au temps béni des colonies. On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Y a pas d'café, pas de coton, pas d'essence En France, mais des idées, ça on en a. Nous on pense, On pense encore à toi, oh Bwana. Pour moi monsieur, rien n'égalait Les tirailleurs Sénégalais Qui mouraient tous pour la patrie, Au temps béni des colonies. Autrefois à Colomb-Béchar, J'avais plein de serviteurs noirs Et quatre filles dans mon lit, Au temps béni des colonies. Moi monsieur j'ai tué des panthères, A Tombouctou sur le Niger, Et des Hypos dans l'Oubangui, Au temps béni des colonies. Entre le gin et le tennis, Les réceptions et le pastis, On se s'rait cru au paradis, Au temps béni des colonies. Dis-nous ce que t'as pas, on en a.
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Artiste provocateur, le chanteur s'est spécialisé dans les textes critiques,
défendant sa propre vision de l'histoire et de la société. Retour sur les morceaux
de Michel Sardou qui ont le plus suscité la controverse. « Les Ricains » (1967) Michel Sardou se saisit de cette chanson, sortie en 1967 en single, puis sur l'album « J'habite en France » (1970), qui était destinée à l'origine à Alain Delon, qui la refuse. Sardou interprète ce morceau rappelant le sacrifice des soldats américains pendant la Seconde Guerre mondiale afin de sauver la France. La polémique autour de ce tube réside dans le contexte de sa sortie: alors que les Etats-Unis sont au milieu d'une guerre du Vietnam controversée, un vent d'anti-américanisme souffle sur la France. Ces paroles à contrecourant de la position du gouvernement français et de l'opinion publique sont vite remarquées et la chanson est censurée à la demande des autorités gaullistes. « Je suis pour » (1976) Michel Sardou évoque la souffrance d'un père dont l'enfant a été assassiné et son envie d'appliquer la loi du talion en appliquant le même sort à son meurtrier, avec ce morceau issu du disque « La Vieille » (1976).
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Au cours de sa carrière, Michel Sardou s'est plusieurs fois retrouvé au coeur de vives polémiques. En mai dernier, le chanteur de 74 ans qui traîne derrière lui une réputation d'homme raciste, a tenu à mettre les choses au clair dans une interview accordée à Paris Match: "Je passe pour un réac parce que j'ouvre ma gueule, je dis ce que je pense. Mais quand on dit 'Sardou est de droite', on sous-entend souvent 'd'extrême droite'. Or ça, je ne l'ai jamais été. L'idée que ces gens-là puissent prendre le pouvoir me rend très... perplexe" déclarait-il. Le chanteur avait alors assuré que les paroles de ses chansons ne reflètent pas son état d'esprit: "Je me suis piégé en écrivant souvent mes textes à la première personne. On a cru que je chantais ce que je pensais. Alors qu'une chanson, c'est comme une pièce: on raconte une histoire, on crée un personnage". Et de conclure dans une autre interview accordée au Point: " J'avais 25-30 ans à l'époque. J'écrivais huit chansons par jour. J'étais volontiers provocateur.
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Moi monsieur j'ai fait la colo, Dakar, Conakry, Bamako. Moi monsieur, j'ai eu la belle vie, Au temps béni des colonies. Les guerriers m'appelaient Grand Chef Au temps glorieux de l'A. O. F. J'avais des ficelles au képi, Au temps béni des colonies. On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Y a pas d'café, pas de coton, pas d'essence En France, mais des idées, ça on en a. Nous on pense, On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Pour moi monsieur, rien n'égalait Les tirailleurs Sénégalais Qui mouraient tous pour la patrie, Au temps béni des colonies. Autrefois à Colomb-Béchar, J'avais plein de serviteurs noirs Et quatre filles dans mon lit, Au temps béni des colonies. Moi monsieur j'ai tué des panthères, A Tombouctou sur le Niger, Et des Hypos dans l'Oubangui, Au temps béni des colonies. Entre le gin et le tennis, Les réceptions et le pastis, On se s'rait cru au paradis, Au temps béni des colonies. On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a.