Parmi nos ( continuer... )
Maison de la naissance, ô nid, doux coin du monde! Ô premier univers où nos ( continuer... )
Prodigue de trésors et d'ivresse idolâtre, La Jeunesse a toujours fait comme ( continuer... )
Qu'elle est gracieuse et belle! Est-il rien d'aussi beau qu'elle? Me diras-tu, ( continuer... )
Par les jardins anciens foulant la paix des cistes, Nous revenons errer, comme ( continuer... )
Magnus ab integro saeclorum nascitur ordo. Virgile. Il est une fontaine heureuse, ( continuer... )
Une croûte assez laide est sur la cicatrice. Jeanne l'arrache, et saigne, et ( continuer... Poèmes et poésie sur la jeunesse - poetica.fr. )
La bille habile vite vole dans le beau ciel de son école où l'enfant rêve ( continuer... )
(A Mlle Emilie Bascans) Si j'étais assez grande, Je voudrais voir L'effet ( continuer... )
Qu'ils étaient doux ces jours de mon enfance Où toujours gai, sans soucis, sans ( continuer... )
Les p'tiots matineux sont 'jà par les ch'mins Et, dans leu' malett' de grousse ( continuer... )
Défais tes doigts nouant tes mains.
A Ma Mère Théodore De Banville 6
Etienne Jean Baptiste Claude Théodore Faullain de Banville, né le 14 mars 1823 à Moulins (Allier) et mort le 13 mars 1891 à Paris, est un poète, dramaturge et critique français. Célèbre pour les « Odes funambulesques » et « les Exilés », il est surnommé « le poète du bonheur ». Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier, il est considéré dès son vivant comme l'un des plus éminents poètes de son époque. Il a notamment découvert le talent naissant d'Arthur Rimbaud. Théodore de Banville a fait ses études au lycée Condorcet à partir de 1830. Encouragé par Victor Hugo et par Théophile Gautier, il se consacra à la poésie, et fréquenta les milieux littéraires parmi les plus anticonformistes. Il méprisait la poésie officielle et commerciale, fut l'adversaire résolu de la nouvelle poésie réaliste et l'ennemi de la dérive larmoyante du romantisme. À ma mère, II de Théodore de BANVILLE dans 'Les cariatides' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. Il collabora aussi comme critique dramatique et chroniqueur littéraire aux journaux « le Pouvoir » (1850), puis « le National » (1869) et devint une figure très importante du monde littéraire, devenant membre de la « Revue fantaisiste » (1861), où se retrouvent les poètes qui furent à l'origine du « Parnasse » et de tous les mouvements du siècle.
Ma mère, ainsi j'aurai fui tout réseau,
N'étant valet, seigneur ni damoiseau. (Que de ce mal jamais je ne guérisse! ) J'aurai vécu libre comme un oiseau,
19 Novembre 1869.