Daniel Pennac: Extrait de Comme un roman
Voici l'extrait du livre Comme un roman, écrit pas Daniel Pennac. Pennac est un auteur francais, né au Maroc. Il est un romancier contemporain, il a écrit plusieurs livres pour les enfants. Notre texte est un essaie décrivant le passage difficile de l'enfance à l'adolescence des jeunes francais qui ont le problème avec l'écheque scolaire. Nous allonsanalyser ce texte en trois parties, premièrement nous allons décrire la Situation actuelle, deuxièmement nous allons nous intéresser à l'Apparence externe et enfin nous allons expliquer la Malaise interne des élèves. Maintenant je passe à la lecture…
1. Situation actuelle -Pennac nous présente une partie des jeunes marqué par l'échec scolaire, ces jeunes ont des mauvais résultats à l'école, ils'agit des adolescents (l. 1"une classe adolescente") qui n'ont pas de bons résultats -cet échec concerne ici les jeunes avant le bac (l. Daniel pennac: « extrait de comme un roman » | lesessais. 4 "pas de mention au bac, voire pas de bac ddu tout") -les bons lycées se débarasse d'eux pour garder leur bonne réputation d'établissement -Pennac met en opposition les bons étudiants destinés aux études supérieurs et les mauvais élèves qu'il appelle "lesautres" (l. l.
2-3 "les autres, cex qui se sont fait renvoyer des lycées du centre-ville")
-il met "les autres" entre guillemmets (".. "), pour exprimer que c'est la société qui les considère comme mauvais, comme les autres
-on sent que l'écrivain se montre critique de cette politique scolaire, politique de réussite
-il est ironique en parlant des bonns élèves, il utilise les expression comme (l. 1 "élèves soigneusement calibrés", l. 2 "les hautes portiques des grandes écoles")
-les superlatifs sont en plus accompagnées par des expressions come ("Oh! ", "vite-vite", "non, ")
-auteur présente ces mauvais élèves dans une situation nouvelle, ils viennent de quitter le lycée (l. Daniel pennac comme un roman extrait 2. 3 "qui se sont fait renvoyer des lycées du centre-ville") et ils ont échoué (l. 6)
-ils ont l'idée que tout le monde les a
Comme un roman daniel pennac
2215 mots | 9 pages
Comme un roman – Daniel Pennac
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« On ne force pas une curiosité, on l'éveille. »[1]
La citation ci-haut exprime bien la façon dont mon intérêt a été suscité face à l'œuvre de Daniel Pennac: Comme un roman.
LIVRE UTILE: DANIEL PENNAC - COMME UN ROMAN - YouTube
La négation peut aussi être exprimée par la syntaxe avec des adverbes de négation par exemple ne plus un autre adverbe comme pas, jamais, plus, rien. Parfois on peut avoir la conjonction de coordination « ni » qui remplace « et » qui est la conjonction de coordination de la phrase affirmative. Il y a aussi des négations restrictives qui ne constituent pas une vraie négation mais qui ont une valeur affirmative. Les négations peut avoir 2 portées différentes soit totale soit partielle. La négation totale porte sur l'ensemble de l'idée de la phrase et donc tout le verbe est nié. La négation partielle porte elle sur un seul élément de la phrase. Daniel Pennac, Comme un roman | OVEO. Ici je remarque dans les deux dernières phrases du passage qui il y a 4 mots qui expriment une négation « n' » « pas » « ne » et une deuxième fois « pas ». Les négations présentent dans ces deux phrases sont exprimées par la syntaxe. On a les adverbes de négation « n' » et « pas » ainsi que « ne » et « pas ». Leurs portées sont partielles, elles ne portent que sur un élément de la phrase.
Daniel Pennac Comme Un Roman Extrait De Casier Judiciaire
Volé à quoi? Disons, au devoir de vivre. C'est sans doute la raison pour laquelle le métro - symbole rassis dudit devoir - se trouve être la plus grande bibliothèque du monde. Le temps de lire, comme le temps d'aimer, dilatent le temps de vivre. Daniel pennac comme un roman extrait d. Si on devait envisager l'amour du point de vue de notre emploi du temps, qui s'y risquerait? Qui a le temps d'être amoureux? A-t-on jamais vu, pourtant, un amoureux ne pas prendre le temps d'aimer? Je n'ai jamais eu le temps de lire, mais rien, jamais, n'a pu m'empêcher de finir un roman que j'aimais. La lecture ne relève pas de l'organisation du temps social, elle est, comme l'amour, une manière d'être. La question n'est pas de savoir si j'ai le temps de lire ou pas (temps que personne, d'ailleurs, ne me donnera), mais si je m'offre ou non le bonheur d'être lecteur. Afficher en entier
A toute lecture préside, si inhibé soit-il, le plaisir de lire; et, par sa nature même - cette jouissance d'alchimiste - le plaisir de lire ne crait rien de l'image, même télévisuelle, même sous forme d'avalanches quotidiennes.
Mais ni l'examinateur, ni toi, ni les parents, ne souhaitent particulièrement que ces enfants lisent. Ils ne souhaitent pas non plus le contraire, note. Ils souhaitent qu'ils réussissent leur études, un point c'est tout! Pour le reste, ils ont d'autres chats à fouetter. D'ailleurs, Flaubert aussi avait d'autres chats à fouetter! S'il renvoyait la Louise à ses bouquins, c'était pour qu'elle lui fiche la paix, qu'elle le laisse travailler tranquille à ses Bovary, et qu'elle n'aille pas lui faire un enfant dans le dos. La voilà, la vérité, tu le sais très bien. Extraits et passages de Comme un roman de Daniel Pennac - page 6. "Lisez pour vivre", sous la plume de Flaubert quand il écrivait à Louise, ça voulait dire en clair: "Lisez pour me laisser vivre", tu le leur as expliqué, ça, à tes élèves? Non? Pourquoi? Elle sourit. Elle pose la main sur la sienne:
- Il faut t'y faire, mon chéri: le culte du livre relève de la tradition orale. Et tu en es le grand prêtre. Burlington et Perfecto sont les premiers surpris quand le prof leur annonce que L'Attrape-cœur de Salinger, dont ils viennent de se régaler, est en train de faire le malheur de leurs condisciples américains pour la seule raison qu'ils l'ont à leur programme.
Ce n'est pas un drame, c'est comme ça. Les bons livres ne vieillissent pas. Ils nous attendent sur nos rayons et c'est nous qui vieillissons. Quand nous nous croyons suffisamment « mûrs » pour les lire, nous nous y attaquons une nouvelle fois. Alors, de deux choses l'une: ou la rencontre a lieu, ou c'est un nouveau fiasco. Daniel pennac comme un roman extrait se. Peut-être essaierons-nous encore, peut-être pas. Mais ce n'est certes pas la faute de Thomas Mann si je n'ai pu, jusqu'à présent, atteindre le sommet de sa Montagne magique. Le grand roman qui nous résiste n'est pas nécessairement plus difficile qu'un autre… il y a là, entre lui et nous une réaction chimique qui n'opère pas. Alors, nous avons le choix: ou penser que c'est notre faute ou fouiner du côté de la notion de goût et chercher à dresser la carte des nôtres. Il est prudent de recommander à nos enfants cette seconde solution. D'autant qu'elle peut leur offrir ce plaisir rare: relire en comprenant enfin pourquoi nous n'aimons pas. Et ce rare plaisir: entendre sans émotion:
– Mais commmment peut-on pas ne pas aimer Stendhaaaal?