Gilles Côté, 72 ans, est le doyen des recruteurs, du moins parmi ceux qui travaillent à temps plein. Il n'est pas prêt à prendre sa retraite et il a d'ailleurs signé en 2014 une prolongation de contrat de deux ans avec l'organisation des Sharks de San Jose. «Que voulez-vous, j'aime ça, le hockey», raconte ce résident de Charlesbourg, au retour d'un long voyage en voiture dans les Maritimes, d'une distance de 3384 km. «Ce boulot me garde jeune. C'est une vie de fou, certes, mais on ne s'ennuie jamais, ajoute Côté. Je ne me vois pas assis sur ma terrasse à regarder pousser les fleurs ou à voir la neige s'accumuler devant la fenêtre. »
Il avoue que les gens ne comprennent pas toujours en quoi consiste le travail d'un recruteur. «Il y en a qui nous disent qu'on ne travaille pas vraiment, qu'on est chanceux d'assister gratuitement à tous ces matchs de hockey... Une vie de fou !. »
75 000 km par année
Côté aime voyager en voiture. Il parcourt en moyenne 75 000 km par année au volant de sa voiture et il a l'habitude de voyager seul.
Une Vie De Fou
Je me souviens aussi qu'ils avaient une fille, je ne sais plus son prénom mais c'est elle qui souvent me promenait dans le petit village de Montaure. Dans mes souvenirs je revois une immense église avec un grand clocher carré. En dessous il y avait une source qui parait-il guérissait. Moi quand je faisais des crises de convulsions on m'aspergeait avec et on m'en faisait boire. Ce qui me fascinait c'était la croix qu'il y avait sur la place devant l'église, je pouvais y rester des heures, le père Basile disait que j'allais devenir fou à regarder cette foutue pierre. Une vie de fou, au-delà des clichés - Le Temps. Puis vers mes six ans je suis revenu au 12 rue de la laiterie avec mes parents, Marcel et Marguerite les jumeaux nés en 1894 avaient pris ma place chez Ambroisine. Je leurs en voulais, car moi je revenais parmi les quartiers de viande à Louviers. Avant de poursuivre il faut que je parle de ma sœur Alice. Alors celle-là je ne la voyais guère, elle aussi avait été placée mais au village de Surtauville chez un grand oncle du côté de ma mère qui se nommait Jean-Baptiste Marsollet.
Je remercie les invités, la famille des mariés qui j'ai partagé des superbes moments. La page Facebook de Olivier Fréchard: c'est ici
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