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V. Qui est Maupassant? • Guy de Maupassant travaille dans l'administration et fréquente Flaubert (un ami de sa mère) et Zola, qui resteront pour lui des modèles littéraires. Il publie aussi des contes et des nouvelles réalistes dans lesquelles il peint les bourgeois et les paysans normands. En 1877, apparaissent les premiers symptômes de sa maladie, la syphilis. Celle-ci qui provoque de nombreux troubles (de la vue, du sommeil, et des maux de tête), qui ne cessent de s'aggraver. Il suit pendant deux ans les cours de Charcot, célèbre psychiatre, à l'hôpital de la Salpêtrière, à Paris, et publie le Horla en 1887. Le Horla (extrait). Interné en hôpital psychiatrique, il meurt en 1893.
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Les lieux
1. L'histoire se déroule à Paris. Plus précisément, elle commence dans le « Marais, le plus vieux quartier de Paris ». Elle se poursuit sur « la place de Grève ». Les deux personnages passent ensuite sur le Pont-Neuf, parviennent dans « les vieilles rues du Quartier Latin » avant d'arriver à la Sorbonne. 2. L'histoire se passe la nuit. Les groupes nominaux suivants le montrent « une nuit d'orage », « une heure si tardive de la nuit ». 3. Évaluation finale le horla des. Le temps est orageux ( « une nuit d'orage », « Les sourds grondements du tonnerre », « Les éclairs crépitaient », « Plusieurs éclairs violents et rapprochés »). 4. Dans ce texte, tout semble vieux. Les rues sont « vieilles et sombres ». On passe successivement devant « les hautes tours du vieil Hôtel de Ville », « les vieilles rues du Quartier Latin ». Même le portier est vieux (« Le vieux portier »). De plus, on y voit peu. On erre dans les « sombres rues du Marais », on longe « les murs sombres de la Sorbonne ». On arrive sur des lieux inquiétants tels « la place de Grève, où se font les exécutions publiques ».
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Et elle ne dit pas autre chose: je suis morte. 14. Le second portrait, qui insiste sur la pâleur du personnage, rappelle celui d'une morte: « Son visage était pâle, mais d'une blancheur éblouissante ». Son regard a quelque chose d'inquiétant: « Ses grands yeux étincelaient, avec dans leur expression quelque chose d'étrangement hagard ». On comprend autrement le narrateur quand il dit que la jeune femme est « sur le bord de cette existence ». C'est peut-être une sorte de fantôme, qui n'a pas encore rejoint le royaume des morts. En fait, à aucun moment, Wolfgang ne comprend ce que la femme lui dit: elle désigne la guillotine afin de lui signifier qu'elle a été exécutée; elle lui dit que sa demeure est dans (remarquez la préposition) la tombe. Évaluation finale le horla paris. 15. Il est probable que le protagoniste soit fou. Au reste, que peut-on penser d'un personnage qui erre dans les rues un soir d'orage violent, et qui croit rencontrer la femme de ses rêves sur la place où se font les exécutions publiques? Wolfgang pense, il a la certitude qu'un démon cherche à le perdre, mais on peut penser qu'il a simplement ramené chez lui un cadavre.
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Titre recommandé par le ministère de l'Éducation Nationale en classe de Sixième et Quatrième
Le Horla raconte la lente désagrégation d'un esprit, de la dépression à la folie – des maux que connaissait bien Maupassant. Le héros se sent peu à peu envahi par un autre, qui agit à travers lui: le Horla, puissance invisible, inconsciente, qui le manipule. S'CAPE-Le Horla. S'installent alors l'incompréhension, la peur, l'angoisse. Jusqu'à l'irréparable. Prenant la forme du journal intime, la nouvelle illustre ce que Freud nommera l'inquiétante étrangeté, cette intrusion progressive du malaise dans le quotidien. Modèle de nouvelle fantastique, Le Horla est aussi une description clinique du dédoublement de personnalité qui menace toute conscience.
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À la question « faut-il croire à ce qu'on ne voit pas? » le moine qui l'accompagne répond par l'affirmative. Le narrateur remarque que les cauchemars de son cocher sont semblables aux siens. Dès la deuxième nuit chez lui, ces rêves deviennent intolérables, au point qu'il songe à repartir. La nuit suivante, il remarque qu'une carafe d'eau, pleine la veille, se trouve vide le lendemain matin. Le narrateur décide de tenter quelques expériences: seuls l'eau et le lait semblent disparaître. Il constate enfin qu'il ne peut s'agir de somnambulisme. Très effrayé, il part pour Paris, s'y distrait et se moque de ses frayeurs passées. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble beaucoup. Compréhension de lecture / Le Horla de Maupassant. — Août: dans le jardin, une rose, cueillie par une main invisible, est restée suspendue en l'air devant le narrateur. Il est persuadé de la présence d'un être invisible. Le lendemain, il se demande s'il ne devient pas fou et se sent obligé de rentrer, mu par une force obscure. Il a peur, décide de partir, sans y parvenir.
Pour apercevoir le Horla, le narrateur se place devant une fenêtre. Le principal thème de la nouvelle est la folie. Type de ressource:
Examen, Préparation d'examen, Devoir
Nombre de pages (diapositives): 43
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