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Par conséquent, il convient de contrôler les facteurs de risque cardio-vasculaires à l'origine de ces lésions, en particulier l'hypertension, et dans une moindre mesure le diabète, l'hypercholestérolémie et l'athérome. Il reste
à déterminer si ces lésions augmentent le taux de conversion entre le déficit
cognitif léger et la démence. Source:
Duron E. Hypersignaux punctiformes et sep francais. et coll. Relations entre troubles cognitifs et lésions de la substance
blanche cérébrale. Archives des maladies du cœur et des vaisseaux. 100 (8),
2007. Les symptômes
Troubles d'apprentissage et de mémoire: difficulté à apprendre ou à se souvenir de nouvelles choses Difficulté à résoudre des problèmes Incontinence Dépression Troubles de marche Troubles d'équilibre avec risques de chutes
Les personnes présentant des lésions de la substance blanche – partie du cerveau composée des axones des neurones – ont un risque accru d'accident vasculaire cérébral ( AVC) et de démence telle que la démence vasculaire ou la maladie d'Alzheimer. Il est possible de prévenir et ralentir ces dommages.
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Introduction Les patients qui présentent une forme cavitaire de sclérose en plaques (SEP) et ceux qui présentent un syndrome childhood ataxia with cerebral hypomyelination (CACH) peuvent se présenter avec des IRM similaires. Objectifs Identifier les anomalies IRM qui permettent de différencier ces 2 entités. Méthodes Nous avons effectué une analyse rétrospective des données d'imagerie de 28 patients avec une sclérose en plaque cavitaire ( n = 14) ou un syndrome CACH ( n = 14). Deux neuroradiologues ont analysé en aveugle les données IRM selon une grille prédéfinie étudiant les caractéristiques (topographie, type, etc. ) des hypersignaux et de l'atrophie dans ces 2 groupes. Résultats Quatorze patients de chaque groupe ont été inclus. Hypersignaux punctiformes et sep meaning. L'âge au début de la maladie était respectivement de 40 ans (SEP cavitaires) contre 33 ans (CACH) pour des durées d'évolution de 9 et 2 ans. Seuls les patients SEP présentaient une atteinte thalamique, des hypersignaux callosofuges et des lésions juxtacorticales punctiformes.
C'est une situation assez problématique pour le radiologue. Les étiologies sont multiples et variées, congénitales ou acquises. Le plus souvent, l'analyse de leur aspect en IRM, leur topographie, leur évolution dans le temps et leur association à des atteintes de la substance grise, fournit une forte orientation diagnostique. Toutefois, dans plusieurs cas l'hyper signal T2 reste non classé. Le texte complet de cet article est disponible en PDF. Plan © 2016
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Ceci est le résultat d'une destruction de la myéline (chez l'adulte) ou par un défaut congénital de production de la myéline (leucodystrophie de l'enfant). Quatre séquences sont nécessaires à l'exploration des hypersignaux: T1, T1 avec injection de gadolinium, T2, Flair et écho de gradient. Parmi les hypersignaux pathologiques, on peut distinguer: les hypersignaux bien limités, les hypersignaux systématisés et les atteintes diffuses de la substance blanche. Les étiologies sont multiples: maladies métaboliques héréditaires ou maladies acquises (vasculaires, infectieuses, inflammatoires, toxiques, hypoxiques, tumorales et post-traumatiques). Hypersignaux FLAIR sous corticale. Conclusion Dans la pratique courante, on est souvent amené à constater des anomalies de signal de la substance blanche dont on n'arrive pas forcément à en déterminer l'origine. C'est une situation assez problématique pour le radiologue. Les étiologies sont multiples et variées, congénitales ou acquises. Le plus souvent, l'analyse de leur aspect en IRM, leur topographie, leur évolution dans le temps et leur association à des atteintes de la substance grise, fournit une forte orientation diagnostique.
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