Le taux d'incidence en Bretagne remonte avec 1 320 cas pour 100 000 habitants au 22 mars. La pression hospitalière est faible. Où circule (le plus et le moins) la Covid-19? Par Rédaction Morbihan
Publié le 23 Mar 22 à 19:46
En bleu foncé, les communes affichent un taux d'incidence supérieur à 1 000 pour 100 000 habitants. Ici, pour la semaine glissante du 13 mars au 19 mars 2022. ©Geodes La sixième vague de Covid va-t-elle déferler sur la Bretagne? La reprise épidémique se confirme à la mi-mars d'après l'Agence régionale de santé (ARS) Bretagne, quelques jours après la levée des restrictions sanitaires partout en France. Le taux d'incidence remonte. Bon point, les hôpitaux sont loin d'être saturés. Regardons où circule le plus et le moins la Covid-19. Où circule le plus la Covid? Les fromages à pâte molle, le plaisir estival !. Les derniers chiffres de Santé Publique France via l'outil Geodes, qui s'étendent sur la semaine glissante du 14 mars au 20 mars 2022, permettent de constater une hausse de la circulation du coronavirus dans la région:
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Depuis leur création dans les années 1960, les groupes FLB et ARB ont usé massivement de la violence. Ici aussi bretagne est. Des centaines d'attentats matériels ont été commis, dont des dizaines à la bombe, entre vague d'arrestations et reformations des groupes. Les plus célèbres d'entre eux restent l'endommagement d'une aile du château de Versailles, l'attaque de la cité judiciaire de Rennes, de la mairie de Belfort, ou encore d'un engin d'aviation. Néanmoins, les groupes activistes de la région ne semblaient plus user de tels procédés depuis l'attentat du MacDonald de Quévert où une jeune femme avait perdu la vie en avril 2000. À VOIR AUSSI - «La Corse restera française»: Gérald Darmanin évoque «une ligne rouge»
Le Front de Libération de la Bretagne menace de reproduire les violences corses
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Avec ses grandes plages blondes fouettées par la Manche et l'Atlantique, ses petits villages en pierre, ses belles tables face à l'horizon et son art de vivre vivifiant, la Bretagne fait partie des destinations stars en France. Une institution avec vue: Le Castelbrac à Dinard Face à la cité corsaire de Saint-Malo, cette ancienne station marine est désormais l'un des plus charmants hôtels de Bretagne. Région de Saint-Nazaire : pourquoi une entreprise indienne vient-elle de s'installer en face d'Airbus | L'Écho de la Presqu'île. Dans un décor années 30, paré de papiers-peints aux imprimés végétaux et de mobilier Art Déco, les voyageurs découvrent 24 chambres plongeant sur la baie émeraude, un spa qui prodigue des soins Gemology et Thémaé, une piscine cobalt mais aussi et surtout le restaurant de Julien Hennote. Fervent défenseur du terroir local et la pêche durable, le chef engagé a pour recette signature une savoureuse raviole de homard bleu. A réserver ici L'hôtel Castelbrac à Dinard Une brocante où chiner: Maja à Brest Sorte de caverne d'ali baba brestoise, Maja rassemble un peu de tout: des tables Osvaldo Borsani, des tapis kurde Senneh d'Iran, de la vaisselle ancienne… Le tandem qui le pilote écume tous les vides greniers de Bretagne à la recherche de pépites.
Publié par Hervé Chambonnière le 27 mai 2022 à 16h45
La maison aurait été visée parce qu'étant une résidence secondaire. Une fenêtre de l'arrière du bâtiment a été forcée pour pénétrer dans les lieux. Ici aussi bretagne sud. (Photo Jean Lesoen)
Tags anti-résidences secondaires, maisons vandalisées ou incendiées… La recrudescence d'actions violentes en Bretagne, certaines revendiquées par des mouvements bretons, peut être étroitement liée à la crise du logement. À Caurel, la signature « FLB » semble faire office d'explication: la maison aurait été visée parce qu'étant une résidence secondaire. Si cette hypothèse venait à être confirmée, elle cadrerait avec l'une des revendications portées par certains mouvements bretons… depuis plus de trente ans (« spéculation immobilière » et « tout tourisme » mis en avant pour justifier des actions violentes). « La crise du logement et la problématique des résidences secondaires sont un terreau fertile pour la radicalisation », estime un Breton, proche de militants mis en cause ces dernières années.