jeudi, 17 juin 2021. 19:57
Rod Brind'Amour a vu son travail être récompensé par deux fois, jeudi. Après avoir reçu une prolongation de contrat des Hurricanes de la Caroline, il a hérité en soirée du trophée Jack-Adams remis au meilleur entraîneur-chef de la dernière année dans la LNH. Parfum chris adams pour femmes. Il a devancé au scrutin Dean Evason du Wild du Minnesota et Joel Quenneville des Panthers de la Floride. Brind'Amour a su mener les Canes en tête de la division Centrale avec un dossier de 36-12-8 au cours de la saison. Celui qui vient d'obtenir une prolongation de contrat a aidé son équipe à présenter le deuxième meilleur taux en avantage numérique et le troisième en désavantage numérique à travers le circuit. Brind'Amour de retour en Caroline pour 3 saisons
En trois saisons sous sa gouverne depuis 2018-2019, les Hurricanes ont participé aux séries éliminatoires chaque fois, une première depuis que l'équipe a déménagé d'Hartford en 1997. Après avoir pris la relève au cours de la saison 2019-2020, Evason a bien installé ses bases lors de la présente campagne.
Sa grand-mère maternelle. Elle a toujours été une sorte de magicienne pour lui, la fée Mamie, à l'instar des fées marraines de La belle au bois dormant. Tous les trois vont se découvrir, s'apprivoiser, mais aussi se souvenir du passé. Et bien sûr, chacun va apprendre de l'autre. Les chaudes journées défilent, Raymonde tout autant que sa nouvelle locataire, Jeanne, vont vite faire tomber les petites robes pour des maillots de bain. A la ferme, on ne se gêne pas. A l'abri du monde, on prend le temps de vivre. Parfum chris adams pour homme. Et parfois, on aimerait bien que la parenthèse enchantée dure pour toujours et que le temps s'arrête pour profiter de ces bons moments à vivre. Mais voilà, les aiguilles du temps continuent de tourner, et la vie va rattraper Jeanne, Raymonde, et Lucas, pour les obliger à grandir un peu... Coup de coeur! Coup de coeur pour ce premier roman, de Julien Rampin que j'ai connu grâce aux réseaux sociaux et à ses partages de lectures également. Un premier roman nous offrant un roman vrai, un roman sur la vie et sur le temps qui passe, sur les liens familiaux, les liens amicaux, sur la différence, les souvenirs, les regrets aussi...
Et lorsqu'elle lit cette petite annonce, elle décide de tout quitter, avec pour seul bagage ses vinyles sous le bras. Elle fuit une vie qui ne lui convient plus, sans rien dire de plus à son mari. Elle répond à cette petite annonce du journal, et se retrouve face à une vieille bâtisse en pierre aux volets bleus, perchée sur une colline, et loin de tout. Raymonde l'accueille avec une joie qui surprend Jeanne et qui en même temps lui fait du bien. Raymonde c'est la vieille dame un peu loufoque de l'annonce. Fantasque, oui elle l'est. Raymonde recherche une dame de compagnie pour l'aider dans le quotidien, enfin c'est ce qu'elle fait croire à tous. Tout plaît à Jeanne au premier abord. Le calme, le paysage, rien aux alentours, et puis cette femme âgée et son côté fantasque, libre et rebelle. A la ferme, il n'y a pas que Raymonde et sa nouvelle locataire. Il y a également Lucas, le petit-fils de Raymonde. Un jeune homme beau comme un dieu et du plus lointain qu'il s'en souvienne, Raymonde a toujours été là pour Lucas, elle habitait sa vie.
On monte encore d'un cran avec « The Thing I Want », titre entrainant et accrocheur comme c'est pas permis qui s'inscrit directement comme un classique potentiel. L'acoustique « The Rain » apporte avec sa mandoline un parfum de grands espaces ricains avant un « Black Water » en mode Rock tranquille et classe. Plus agressif, « The Prophet » manque malheureusement du sens mélodique des morceaux précédents. Mais si la ligne de chant est assez faiblarde, le jeu des musiciens ne saurait être pris en défaut. En revanche, malgré son côté mélodique, on trouvera le Rock poppy de « Ressurection Day » trop bateau et passe-partout pour vraiment convaincre. Le blusey « Chasing Shadows » avec son gros riff et ses petites touches orientalisantes remet bien vite l'album sur des rails plus solides et satisfaisants. L'ombre de Led Zeppelin n'est pas très loin. Sur « Broken », ce serait plutôt celle d'Elton John. Mais attention, le Elton John des 70's qui pouvait nous sortir des petits bijoux Pop/Rock derrière son piano.
Appréciant leur nouveau statut de vétérans du Rock, les gars de Thunder n'ont pas ralenti la cadence depuis et on leur souhaite encore une longue vie. Titres: 1. Wonder Days 2. The Thing I Want 3. The Rain 4. Black Water 5. The Prophet 6. Resurrection Day 7. Chasing Shadows 8. Broken 9. When the Music Played 10. Serpentine 11. I Love the Weekend
Musiciens: Danny Bowes: Chant Luke Morley: Guitare, claviers, mandoline, harmonica Chris Childs: Basse Gary « Harry » James: Batterie + Nigel Hopkins: Piano
Production: Luke Morley
On se rend compte que la voix de Bowes n'est d'ailleurs pas tellement éloignée de celle de l'extravagant binoclard. Avec « When The Music Played », Thunder a voulu sortir leur équivalent du « Summer of 69 » de Bryan Adams. C'est moins tubesque, bien sûr, mais ce Rock entraînant d'où se dégage une douce nostalgie est plutôt réussi. Curieusement, lorsque la guitare durcit le ton dans lors du break du morceau, on trouvera des réminiscences de la reprise de « Higher Ground » par les Red Hot Chili Peppers. Retour au bon gros Rock du sud des Etats-Unis avec « Serpentine » avant de terminer par un Rock 'n' Roll rétro mais également bien crasseux, « I Love The Weekend ». Un titre, on s'en doutera, on ne peut plus festif. C'est donc un fort bon retour aux affaires que celui qu'a accompli Thunder avec Wonder Days. On pourrait même considérer l'album comme l'un des plus solides de la carrière du groupe. Ce fut d'ailleurs l'avis du public puisque l'album offrit à nos Anglais leur meilleure vente depuis vingt ans.