Brèves
Trouvaille et pépite artistique du jour:
Fantastique et fascinant corpus d'œuvres picturales ayant toutes le point commun de mettre à l'honneur une femme en train de lire. Des liseuses de tous les âges, de tous temps, de tous les styles. Un même amour intemporel pour la lecture. Les femmes qui lisent sont dangereuses, Laure ADLER et Stefan BOLLMAN, éditions Flammarion, 2015, 147 pages, 19. 90€. Navigation des articles
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Et d'abord, encore et encore la Bible. La Bible pour les filles, le seul texte autorisé dans tous les sens du terme et utilisé à toutes fins possibles. On apprend à lire dans la bible ainsi que les préceptes moraux pour savoir vivre. Mais les femmes s'en détachent progressivement au profit des livres dits de « belle littérature » qui occupent dans les catalogues de foire (celles de Leipzig en particulier) une place croissante: de 16, 5% en 1770, ils grimpent à 21, 5% en 1800. C'est « la grande révolution des libraires » entraînant avec elle celle des femmes lectrices à la fois en Allemagne, en Grande-Bretagne et en France. Les femmes dédaignent la Bible pour l'Encyclopédie, se passionnent pour les romans sentimentaux de Richardson et éprouvent une curiosité de plus en plus dévorante pour tout ce qui a trait à l'actualité: politique, évènementiel, innovation, sciences. Cette véritable révolution culturelle s'accompagne d'une lecture des journaux et d'une attirance de plus en plus forte pour ce qu'on nomme alors les « romans du temps présent ».
Il parait qu'il y a plus de lectrices que de lecteurs. Ce n'est pas moi qui vais le contredire étant donné ma qualité de femme, de lectrice et qu'autour de moi, blogs, rencontres, il y a une majorité de femmes. Et quand on parle lecture, je peux vous assurer que toutes ont leurs yeux qui s'enflamment. La lecture une passion féminine, oui peut-être en tout cas elle ne date pas d'hier au vu des différentes représentations dans ce livre. Regardez-les bien: plus rien n'existe, elles sont plongées dans leur lecture, solitaire ou non, on a le sentiment que plus rien ne peut les atteindre. Je pense que cet album restera en évidence sur une des mes étagères de ma bibliothèque, face à la porte d'entrée, au moins les gens qui arrivent chez moi sauront à quoi s'en tenir.....
Il est opposé seul au caporal Otto Kandulski [ 8] — qui a été son élève [ 9] — et au mitrailleur lieutenant Von Bilitz. Pégoud est abattu d'une balle à la tête à 2 000 m d'altitude au-dessus de Petit-Croix, à l'est de Belfort, à l'âge de 26 ans. Il vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur et de se voir attribuer la croix de guerre avec palmes. Il ne le sut jamais. Après sa mort sa mascotte, un petit pingouin, qui ne le quittait jamais en vol est retrouvée fixée sur le capot de l'avion [ 10]. Le 6 septembre, l'équipage allemand revient sur les lieux du combat et y lance une couronne de laurier portant l'inscription « À Pégoud, mort en héros pour sa Patrie ». Le 18 mai 1916, le pilote français Roger Ronserail abat lors d'un combat aérien l'Allemand Otto Kandulski et venge ainsi la mort d'Adolphe Pégoud. L'exploit de Roger Ronserail lui vaut l'appellation « du vengeur de Pégoud », bien qu'Otto Kandulski se maria par la suite et eut une fille, avant de disparaître sans laisser de trace, ce qui prouve que Roger Ronserail ne l'avait pas vraiment tué.
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Il est d'abord affecté à la défense de Paris et obtient sa première citation en octobre 19146 pour une mission de renseignement à Maubeuge. Le mois suivant, son avion est touché et il doit planer sur plus de 10 km pour rejoindre les lignes françaises. Le 5 février 1915 il abat deux avions ennemis et force le troisième à atterrir côté français. En avril 1915, il est affecté à l'escadrille MS 49 à Belfort. Le 18 juillet, il remporte sa sixième victoire aérienne, ce qui lui vaut une seconde citation à l'ordre de l'armée. Il devient ainsi le premier « as » de la guerre de 1914-1918. Au matin du 31 août 1915, le sous-lieutenant Célestin Adolphe Pégoud mène son dernier combat. Il est opposé seul au caporal Otto Kandulski — qui a été son élève — et au mitrailleur lieutenant Von Bilitz. Pégoud est abattu d'une balle à la tête à 2 000 m d'altitude au-dessus de Petit-Croix, à l'est de Belfort, à l'âge de 26 ans. Il vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur et de se voir attribuer la croix de guerre avec palmes.
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Ce geste chevaleresque démontre le haut niveau d'estime que se tenaient mutuellement les aviateurs des deux camps (il faut rappeler que la plupart des pilotes étaient issus de la cavalerie, aussi bien chez les Français que chez les Allemands. Les traditions y ont une place encore très forte). L'insigne (non officiel) de Roger Ronserail. Le 18 mai 1916, un autre jeune pilote français gagne le surnom du « vengeur de Pégoud ». Roger Ronserail abat en combat singulier le caporal Kandulski, vengeant la mort de Pégoud. Le sous-lieutenant Adolphe Pégoud n'aura accroché que six victoires à son tableau de chasse, mais sa stature, sa maîtrise de son avion et ses victoires audacieuses l'ont placé parmi les as de la Grande Guerre. Ces véritables pionniers de l'aviation militaire n'ont pas démérité, et la plupart d'entre eux en ont payé de leur vie. De nos jours, un monument est élevé pour Adolphe Pégoud dans sa commune natale de Montferrat. Pour ne pas oublier. L'auteur tient à remercier chaleureusement le Musée Pégoud ( www, ) de Montferrat et M. Thollon-Pommerol pour les photos et les renseignements.
Voir aussi cette vidéo:
[su_youtube url=" height="600″ title="Adolphe Pégoud. "] Sources: Wikipédia, YouTube.